Et si nous pouvions rebâtir la société sur des fondations plus justes, plus humaines et plus résilientes ? C’est l’ambition portée par un projet d’ingénierie sociale innovant, qui combine Monnaie Libre, réseaux de confiance décentralisés et réappropriation d’Internet. Ce projet s’adresse à toutes celles et ceux qui aspirent à une société plus équitable, fondée sur la collaboration, la liberté et la souveraineté numérique.
Au cœur de ce projet se trouvent deux concepts clés : la Monnaie Libre et la Web of Trust (WoT).
La Monnaie Libre, déjà expérimentée avec la Ğ1, propose une alternative aux monnaies traditionnelles, libérant les individus de la dette et de l’obligation de travailler pour survivre. Chaque membre crée sa part de monnaie quotidiennement, de manière équitable.
La Web of Trust, quant à elle, remplace les systèmes d’identification classiques (comme le KYC des banques) par une certification entre pairs. Elle garantit que seuls des êtres humains peuvent créer de la monnaie, tisser des relations économiques et participer à la communauté.
Dans ce modèle, chaque individu est au centre d’une bourgade décentralisée, composée de 100 contacts directs (N1) et de leurs 100 amis chacun (N2), formant un réseau regroupant jusqu'à 10 000 personnes.
Pour “exercer” une activité dans la communauté (artisanat, soin, éducation…), il faut obtenir un “permis d’exercer”, validé par 12 membres de la WoT. Ce processus, inspiré des syndicats de compagnons, garantit compétence, confiance et responsabilité.
Que se passe-t-il en cas de conflit ou d’accident ? La communauté prend les choses en main.
Si un accord amiable échoue, les cercles N1 interviennent pour arbitrer les différends. En cas de dommages lourds, la réparation est collective, gérée par les cercles N1/N2, sur le modèle d’une mutuelle de solidarité. Plus besoin d’assureurs ou de tribunaux centralisés : la confiance humaine et la responsabilité partagée suffisent.
L’économie change de logique : au lieu de payer un prix imposé, chaque membre contribue selon la PAF (Participation Aux Frais).
Les biens communs (lieux, outils, services) sont gérés via le 321_DU, un système qui reconnaît l’engagement par niveaux : Visiteur, Acteur, Bâtisseur, Organisateur. On ne travaille plus pour gagner sa vie, mais pour contribuer à la vie commune.
Le projet ne s’arrête pas à l’économie locale. Il propose une réappropriation d’Internet via des essaims de serveurs décentralisés, gérés par des “Capitaines” (WoT Dragon).
Chaque essaim comprend 150 à 1500 machines offrant :
C’est une infrastructure alternative aux GAFAM, contrôlée par les communautés elles-mêmes.
👉 Découvrir les bases du fonctionnement de notre hébergement décentralisé
Ce projet est aussi économiquement viable : chaque serveur est cofinancé par ses membres occupants (de 50 à 500 € pour 3 ans). Les bénéfices sont répartis équitablement :
👉 Les "Statuts" "COPYLARADIO/UPlanet" (en cours de rédaction)
Cette SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif) pourra acquérir des terrains et forêts pour les “réenchanter” et expérimenter de nouveaux modèles d’urbanisme avec les citoyens (UPlanet).
Le numérique devient un jeu collectif : l’application Atom for Peace permet de visualiser son réseau social et d’éviter la concentration des flux d’information sur des plateformes centralisées comme YouTube.
Objectif : redonner du pouvoir aux utilisateurs, leur permettre de choisir leur environnement numérique, et créer un internet pacifique, joyeux et décentralisé.
Ce projet s’oppose à la centralisation, à la dette, à la privatisation de l’information et à l’aliénation économique. Il propose une révolution douce, fondée sur :
Face aux géants du web et à la concentration des richesses, il est temps de réinventer la société pour la rendre plus humaine, résiliente et joyeuse.
Tu veux participer ou en savoir plus ?
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